Le mariage, c'est l'état, c'est le trône de la femme.
Le mariage est une religion : il promet le salut, mais il faut la grâce.
On ne sait jamais qui on épouse : le mariage nous l'apprendra.
Il n'y a pas de bons mariages mais il y en a de délicieux.
Le mariage n'est-il pas avant tout "une longue conversation" ? Le meilleur ami, ou la meilleure amie, c'est l'amour sans souffrance, sans manque, c'est la complicité sexuelle sans la douloureuse fusion.
Le mariage vaut plus par ce qu'il nous épargne que par ce qu'il nous procure.
Je suis pour l'indissolubilité du mariage. C’est le seul moyen de ne pas faire l'imbécile deux fois.
Le mariage c'est la robe. Après, évidemment, on a le mari !
C’est pas mal un beau mariage. C’est presque aussi bien qu’un bel enterrement...
Il ne faut pas oublier que le premier devoir, dans le mariage, est de se faire pardonner d'être là.
Le mariage est trop décrié pour n'avoir pas beaucoup de bon.
Le mariage simplifie la vie et complique la journée.
On est mal fait pour le mariage quand on n'a l'étoffe ni d'un despote ni d'un esclave.
Toute une vie auprès du même être, c'est long : un des bienfaits du mariage est de nous faire sentir la durée.
Un bon mariage est celui où chacun des époux a la chance de pouvoir tolérer l'intolérable de l'autre.
Un bon mariage est une parabiose réussie.
Un bon mariage serait celui où l’on oublierait, le jour, qu’on est amants, la nuit, qu’on est époux.
En n’asservissant les honnêtes femmes qu’à de tristes devoirs, on a banni du mariage tout ce qui pouvait le rendre agréable aux hommes.
Même dans le mariage, le plaisir n'est légitime que quand le désir est partagé.
Si l'on pouvait prolonger le bonheur de l'amour dans le mariage, on aurait le paradis sur la terre.
On n'épouse pas toujours les femmes qu'on prendrait pour maîtresses. C’est même un peu la raison pour laquelle le mariage et la galipette sont deux choses bien différentes.
Le mariage est comme le tiret en imprimerie : il sépare et relie.
Il y a des mariages qui sont des enterrements.
Ce que le mariage perd en beauté, il le gagne en sécurité.
Le mariage est mère du monde, il préserve les royaumes, remplit les villes et les églises, et même le paradis.
Un invité maussade n’a pas sa place dans un mariage.
Il reste à savoir si le mariage est un des sept sacrements ou un des sept péchés capitaux.
Les amitiés, comme les mariages, dépendent de la faculté de pardonner l'impardonnable.
L’amour est un plat vite écœurant, quand le mariage lui sert de sauce.
Une vie après la mort... c’est aussi improbable qu’une vie sexuelle après le mariage.
Ce qui se fait au ciel, nous l'ignorons ; ce qui ne s'y fait pas, on nous le dit expressément : on ne s'y marie pas et l’on n’est pas donné en mariage.
Vénus, une belle et bonne dame, était la déesse de l’amour ; Junon, une terrible mégère, la déesse du mariage, et toujours elles furent ennemies mortelles.
On devrait pouvoir se faire interdire de mariage, comme on le fait pour le jeu.
Le bonheur est promis à ceux sur qui le soleil luit le jour de leur mariage.
Quand on aime le jour de son mariage, on aime pour la vie.
Amitié : mariage de deux êtres qui ne peuvent pas coucher ensemble.
Le mariage est un dîner qui commence par le dessert.
Le mariage est un véritable éteignoir de tout ce qui est grand et qui peut avoir de l'éclat.
Un optimiste est celui qui croit que le mariage est un pari.
L’essence même du mariage tel qu'il est institué dans nos mœurs est d'unir une fille vierge à un homme déjà fait.
Que redoute-t-on quand un homme fixe sa vie avant d'avoir “mené la vie de garçon” ? On craint que la solidité du mariage ne résiste pas au déchaînement subit de l'instinct viril. Juste crainte, mais qui n'est pas moins fondée pour la femme.
Le mariage, tel qu'il existe aujourd'hui, est le plus odieux de tous les mensonges, la forme suprême de l'égoïsme.
Le mariage n'est souvent qu'un échange de grognements réciproques durant le jour et de ronflements pendant la nuit. C’est de l'ennui à deux.
En somme la mort, c'est un peu comme un mariage.
Il vaut encore mieux, pour maintenir quelque chose de sacré sur la terre, qu'il y ait dans le mariage une esclave que deux esprits forts.
Le mariage peut accepter et même parfois s’enrichir de ce qui, pour l’amour, est une souffrance qu’il tolère mal.
Il y a au moins un mariage qui rend un homme heureux : celui de sa fille.
Un mariage d’amour, c’est-à-dire fait par amour, y serait considéré comme une preuve de vice.
Avant le mariage, une femme doit faire l’amour à un homme pour le retenir. Après le mariage, elle doit le retenir pour lui faire l’amour.
De nos jours, le plus grand problème du mariage est de subvenir, avec un seul salaire, aux besoins de sa femme et à ceux de l'état.
Il n’y a pas de plus adorable, tendre et charmante relation que celle d’un bon mariage.
Le mariage a sa graisse, où l'on s'enlise.
Il me semble, que, des amants les plus tendres et les plus ardents, le mariage, même le plus heureux, ne peut faire que des fonctionnaires de la volupté et des rond-de-cuir du bonheur.
Il y a dans ce mot mariage un étrange pouvoir dissolvant.
Il y a tant de femmes qui, le lendemain de leur mariage, sont veuves du mari qu’elles avaient imaginé.
Les mariages d’aujourd’hui ? Ni union, ni multiplication, mais des additions en attendant la division.
Le mariage est un mal, mais c'est un mal nécessaire.
Le mariage, c’est ce qui différencie l’homme de la bête. il ne faut pas confondre avec le rire... c’est pourtant pas la même chose !
Le célibataire est celui qui prend le mariage très au sérieux.
Quand une jeune fille ne veut entendre parler pour elle de mariage, elle n'aime pas que les autres y pensent.
Le plus grand malheur de l'homme, c'est un mariage heureux. aucun espoir de divorce.
Quinze ans de mariage épuisent les paroles et depuis un long temps nous nous sommes tout dit.
Un bon mariage serait celui d'une femme aveugle avec un mari sourd.
Le mariage, c'est comme un long voyage en mer pendant lequel il faut être suffisamment habile pour passer le cap dans la tempête. L’idéal est d'arriver, poussé par le bon vent, dans la baie de tranquillité.
Si le mariage n'a plus le faste et la solennité d'autrefois, il reste un jour unique, une frontière symbolique au-delà de laquelle vous ne serez plus la même.
Pour être heureux, le mariage exige un continuel échange de transpirations.
Le mariage n'est à conseiller à personne. As-tu vraiment envie de passer ta vie à rendre des comptes ?
Le mariage est comme la mort : peu de gens y arrivent préparés.
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