samedi 19 novembre 2011

Citations Michel Berger



Fils d’un célèbre professeur de médecine, Michel-Jean Hamburger naît à Neuilly-sur-Seine, banlieue riche de Paris, le 28 novembre 1947. Le jeune Michel grandit au sein d’une famille cultivée.
Sa mère, Annette Haas, pianiste classique, l’initie au piano tandis que son père, Jean, célèbre professeur en médecine, côtoie et reçoit les grandes figures culturelles françaises, de Bernanos à Troyat.
Son enfance est agréable. Il est entouré de son frère Bernard et de Françoise sa soeur, et la cellule familiale est harmonieuse jusqu’à ce que leur père quitte le domicile conjugal alors que Michel est âgé de dix ans.

S’il trouve, comme d’habitude, le réconfort dans le travail et sort, la même année.
 En vacances dans sa propriété du Var, à Ramatuelle, Michel Berger est victime d’un infarctus le 3 août 1992. A 44 ans, il laisse une femme, deux enfants et des millions de fans à travers le monde.
Encore aujourd’hui, au travers des dizaines de tubes qu’il a écrits, Michel Berger continue de bercer notre vie. De La déclaration à Quelque chose de Tennessee, en passant par La groupie du pianiste, Le paradis blanc, Évidemment, Cézanne peint ou Message personnel, le répertoire de Michel Berger est l’un des plus populaires et des plus appréciés des vingt dernières années.







A quoi il sert cet amour qui est en nous si c'est pour personne à qui on l'avoue.

Avoir un pied dans le futur -Vivre les rêves qui sont les nôtres et obéir à sa nature .Puisque rien de dure vraiment...

Celui qui chante retrouve la vie, retrouve le cri  de l'enfant Dieu.

De nos jours y'a des accidents d'amour, De nos jours y'a des passions qui tournent court.

De nos jours y a des fantômes même en plein jour.

Elle passe ses nuits sans dormir à gâcher son bel avenir la groupie du pianiste, Dieu que cette fille a l'air triste amoureuse d'un égoïste.

Et pour quelles raisons étranges,  Les gens qui tiennent à leurs rêves, ca nous dérange?

Etre homosexuel c'est comme être gaucher.

Il y a tant de vagues et de fumée qu'on arrive plus à distinguer le blanc du noir et l'énergie du désespoir.

L'enfer ce n’est pas grand chose a côté d'être seule sur terre.

La tendresse des mots, la tendresse des slows, saura bien m'aider à t'emmener ce soir loin de tes idées noires.

Moins de haine, moins de guerre Moins de larmes et moins de sang  Moins d'espoir d'être puissant  Moins de pouvoir et moins d'argent, et plus de sentiments.

Pendant qu'on crie si fort pour cacher nos faiblesses on oublie nos trésors on ménage nos caresses.


Plus on avance, plus il nous faut d’espace. A force de manquer d'air il nous faut le paradis pour oublier l'enfer.


Y'a tant de vagues, et tant d'idées. Qu'on arrive plus à décider le faux du vrai, et qui aimer ou condamner ?


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