Francis Blanche, né le 21 juillet 1921 à Paris et mort le 6 juillet 1974 dans la même ville, était un acteur et humoriste français. Il est enterré à Èze.
Il créa avec Pierre Dac les célèbres sketchs du Sar Rabindranath Duval et du "Parti d'en rire" ainsi que la série radiophonique intitulée Signé Furax.
Il fut également l'auteur de farces téléphoniques hilarantes qui furent diffusées régulièrement à la radio dans les années 1960.
On lui doit également quelques poèmes, paroles de chansons déjantées et musique classique triturée.
Il est mort d'une crise cardiaque.
Il créa avec Pierre Dac les célèbres sketchs du Sar Rabindranath Duval et du "Parti d'en rire" ainsi que la série radiophonique intitulée Signé Furax.
Il fut également l'auteur de farces téléphoniques hilarantes qui furent diffusées régulièrement à la radio dans les années 1960.
On lui doit également quelques poèmes, paroles de chansons déjantées et musique classique triturée.
Il est mort d'une crise cardiaque.
A quoi sert ce progrès dont nos siècles se parent - A quoi sert d'avoir tant vécu? - Il n'y a plus de chefs de gare - Mais il y a toujours des cocus!
A quoi servirait d'être victorieux, si l'on n'était plus vivant pour en profiter?...
A une veuve: - «Je n'ai pu assister aux obsèques de votre mari, étant moi-même assez souffrant...»
Ainsi, l'un sur l'autre on déteint, - Et souvent, pas pour notre bien, - Sachons donc choisir nos voisins...
Après l'amour, dix pour cent des hommes se retournent sur leur côté droit et s'endorment, dix pour cent font de même sur le côté gauche. Les autres se rhabillent et rentrent chez eux.
Avec le matelas multi-spire, on peut dormir à côté de la dame aux camélias.
C'est dur, d'aimer, quand on a beaucoup à faire... mais c'est plus difficile de se séparer, quand on a beaucoup à se dire.
Ce n'est pas en mangeant que l'on devient forgeron. Même si on ne veut pas devenir forgeron.
Ce qui me révolte: l'égoïsme. Chez les autres. Pas chez moi. Et le céleri. Chez moi. Pas chez les autres.
Ce qui peut se passer après la mort?... Je m'en fous: je serais mort.
Certains films sont des auberges espagnoles. Si l'on n'invente pas un peu soi-même, c'est de la non-assistance à personne en danger.
Concupiscent: ce n'est pas un mot. C'est un rébus.
Crever gros, crever maigre?... La différence est pour les porteurs.
Cyclistes!... Plus de crevaisons: roulez sur la jante!... Automobilistes!... Plus de contraventions: roulez sur l'agent!...
Dans une guerre, c'est toujours l'adversaire qui commence.
De la baleine à la sardine et du poisson rouge à l'anchois dans le fond de l'eau chacun dîne d'un plus petit que soi...
Dieu n'existe pas. S'il existait, depuis le temps que je dis des horreurs, il m'aurait déjà foudroyé. Ou Dieu est un mythe, ou il est sourd, ou c'est du mépris.
Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu hais.
Elles s'en vont, les pensées tristes, les années veuves. Comme un bouchon qui s'accroche, un instant, dans les roseaux du fleuve.
En vous laissant le libre choix de vos opinions, je n'admettrai jamais qu'elles s'opposent aux miennes!...
Et si vous n'avez rien à dire, ce n'est pas la peine de le faire savoir à tout le monde!
Etudiants, étudiantes, ne vous présentez plus au bac: prenez le Pont de Tancarville!...
Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement.
Faut-il toujours un cadavre pour que vienne un nouveau-né?
Fêtes nationales?... fêtes religieuses?... Le peuple n'est pas toujours tellement regardant, quant à l'origine de ses joies. Pourvu qu'il s'amuse, il n'en demande pas davantage.
Fini la fête, reste la vie. La vie est bête. Tant pis.
Il a un côté sympathique, seulement on le voit toujours de face.
Il est bon de remettre tout en question, chaque jour.
Il est terrible de répéter une pièce comique dans une salle vide.
Il faut, de temps en temps, se conduire comme des enfants: ça n'empêche pas de vieillir.
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